- Pourquoi tu m'as dit ça?
- Je t'ai dit ça... parce que... ça allait te
faire du mal. Je sais que tu m'as aimée. Il y a des fois
où on a juste besoin de... taper là où on sait que ça
fera mal.
C'était la
dernière fois qu'on
s'embrassait. J'ai repensé à notre premier basier.
C'était a dans la rue d'Orchampt. La rue de Paris qui a le plus petit
trottoir. Il s'en était passé depuis. Toutes ces rues où j'ai été avec
elle... Tout ce parcours compliqué... Pour arriver ici, aujourd'hui,
sans elle.
Je me suis retrouvé dans les rues de Paris... oú les Parisiens vont jamais. Un étranger parmi les étrangers. J'ai en général jamais su pourquoi j'étais là où j'étais. Je dois être typique.
Tenía desde hacía siglos (bueno, 10 años:P) pendiente la película "L'Auberge Espagnole" (horrorosamente titulada en España "Una casa de locos"), y hoy de casualidad la he visto. Me ha encantado, es divertida, inteligente y realista. Y me he sentido totalmente indentificada con esa locura sana de sentirse parte de todo el mundo, y de dejar de lado el camino establecido para hacer lo que uno quiere. Siempre hay que hacer lo que uno quiere, sólo tenemos una vida, una oportunidad, y no hay que dejarla escapar. Me da pena la gente que no lo comprende...
"Ma vie a toujours été un tel bordel! Toujours compliquée, mal foutue, pas rangée, en vrac. Les autres, je crois, ont une vie... plus logique"
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